La volatilité des prix de l'énergie continue d'impacter le budget de l'État. En 2023, les producteurs d'énergie renouvelables devraient verser 13,7 milliards d'euros de recettes à l'État, selon la Commission de régulation de l'énergie (CRE).
L'État garantit un certain niveau de prix de rachat de l'électricité aux producteurs d'énergies renouvelables, ce qui protège leur rentabilité. Si le prix de marché dépasse ce niveau, les producteurs reversent la différence à l'État.
Actuellement, les prix de l'électricité sont en forte hausse, ce qui conduit les producteurs d'énergies renouvelables à reverser une partie de leurs revenus à l'État. Ces recettes permettent de réduire la facture des boucliers tarifaires mis en place pour protéger les ménages et les entreprises.
“Nous construison l'énérgie verte de demain.”
Les 13,7 milliards de recettes provenant des énergies renouvelables permettent de financer environ 50% des dépenses publiques liées aux boucliers tarifaires et amortisseurs. Cela contribue à protéger les consommateurs de la hausse des prix de l'énergie.
La volatilité des prix de l'énergie entraîne des variations rapides des recettes et des charges prévisionnelles. La CRE a réalisé une réduction des boucliers tarifaires en novembre 2022, et la baisse des recettes attendues s'explique par la chute des prix de l'énergie depuis cette date.
Les énergies renouvelables rapportent 13,7 milliards d'euros à l'État en 2023, selon la Commission de régulation de l'énergie (CRE). Grâce à un mécanisme de soutien spécifique, l'État garantit un certain niveau de prix de rachat de l'électricité aux producteurs d'énergies renouvelables, ce qui protège leur rentabilité. Cependant, en raison de la volatilité des prix de l'énergie et de leur envolée actuelle, les producteurs reversent une partie de leurs revenus à l'État. Ces recettes permettent de réduire la facture des boucliers tarifaires mis en place pour protéger les ménages et les entreprises. Environ 50% des dépenses publiques liées à ces boucliers tarifaires sont financées grâce à ces recettes. La CRE souligne cependant que les recettes et les charges prévisionnelles évoluent rapidement en raison de la volatilité des prix de l'énergie. Depuis novembre 2022, une réduction des boucliers tarifaires a été réalisée, et la baisse des recettes attendues s'explique par la chute des prix de l'énergie depuis cette date.